Le 16 décembre 2003, les restes des victimes du massacre de Vipulay ont été déposés au pied de l’autel de l’église catholique du petit village de Pulay, et ont été veillés toute la nuit par leur famille et leurs proches.
Les personnes qui participent aux rituels mayas se considèrent souvent également catholiques. Ceux qui, contrairement à eux, appartiennent à des sectes évangélistes se disent « chrétiens » et rejettent, souvent de façon violente, l’ensemble des rites et des croyances mayas.
(extrait du livre "La vérité sous la terre" éditions Parenthèses)